Originally
known as the Compagnie des Tramways de Cherbourg - a name retained
until
summer 1962 despite the destruction of the tramways during the fighting
in 1944 - the Compagnie des Transports de Cherbourg (CTC) has been the
town service operator in
Cherbourg and the adjacent communities of Tourlaville and
Équeurdreville for as long as can be remembered.
The first section of tramway eastwards to Tourlaville was completed in
November 1896. Later it was electrified on its central section in 1910 after
earlier steam powered
operation, which had commenced in May 1897 between Tourlaville through
Cherbourg to Querqueville, after several abortive
earlier
attempts to introduce horse trams. Extension west to Urville came
in 1911 and full electrification throughout was
completed in 1920. The metre gauge tramway
network was 16.5 kilometres in extent at its maximum, and the full
tramway
service was from Urville in the west through
Querqueville and Équeurdreville to the centre of Cherbourg
and then east to
nearby Tourlaville. |
|
À l'origine
connu comme la Compagnie des Tramways de Cherbourg - un nom maintenu
jusqu'à l'été 1962 en dépit de la destruction des tramways pendant le
combat en 1944 - la Compagnie des Transports de Cherbourg (CTC) a été
l'opérateur du service urbain de Cherbourg et les communautés
adjacentes de Tourlaville et d'Équeurdreville pour tant que peut être
rappelé.
La première section du tramway vers l'est à Tourlaville a été achevé en
Novembre 1896. Le tramway avait été électrifiée sur sa section centrale
en
1910 après l'opération actionnée par vapeur plus tôt, qui avait débuté
en mai 1897 après plusieurs tentatives abortives de présenter des trams
de cheval.
Il y a un extension à l'ouest vers Urville en 1911. L'électrification totale
a été accomplie en 1920. Le réseau
de tramway à voie metrique était de 16.5 kilomètres à son maximum, et
le tramway vient
d'Urville dans l'ouest par Querqueville et Équeurdreville au centre de
Cherbourg et puis vers l'est à Tourlaville. |
|
|
|
June 1929 timetable
L'horaire juin 1929 |
Map of the Compagnie des Tramways de
Cherbourg from the 1925 timetable
Plan de la
Compagnie des Tramways de Cherbourg de l'horaire 1925 |
|
|
Single ticket of Compagnie des Tramways de
Cherbourg for 4 sections
Billet aller
simple de la Compagnie des Tramways de Cherbourg pour 4 sections |
|
|
|
|
June 1936 timetable
L'horaire juin 1936
|
1936 - trams to Tourlaville
1936 - les tramways
pour Tourlaville
|
1936 - buses to Urville
1936 - les autobus
pour Urville
|
|
|
|
|
The summer 1925 tram
timetable shows
a seven and a half minute frequency on the town centre part of the
route with fifteen minute frequencies from Place du Chateau to the east
to Tourlaville and
west to Équeurdreville. Further west Querqueville was
served every thirty minutes and Urville had eight services a day
(increased to twenty-two departures on Sundays). During the
1930s the receipts of the tramway operation did not cover expenses and
from 1935 with mounting deficits the service was placed
under local government control. By the summer of 1936 the
extension beyond Querqueville to Urville was served by bus.
Operation
was intermittent during the war and the
trams ceased on 29th May 1944 after bombs had destroyed the depot and
rolling stock (much damage was done in the
fighting). Reconstruction was the topic of local political discussion
as the costs would fall on the town of Cherbourg whilst the seperate
municipalities of Tourlaville and
Équeurdreville would also gain benefit. Post-war from 1945 replacement
buses operated a
single route from Tourlaville through
central Cherbourg and Équeurdreville
to Querqueville, following
the line
of the former tramway (Urville
being served daily in summer but market days only in
winter).
Some consideration was
given at the time to making this a
trolleybus line but that was not pursued. It was not until the early
1960s - with major town centre reconstruction especially in the area
around the Place Divette - that
some modest extensions were made to
serve housing areas off the main bus line along the former
tram route, the first being that year to St Jean des Carrières (ligne
4). At the
same
time the name was changed from
Compagnie des Tramways to Compagnie des Transports de
Cherbourg.
In common with most French
urban buses of the time fares were
charged by the section and carnets of twenty tickets were sold in
advance
at kiosks and retailers.
Travelling one section required three tickets
with an additional ticket required for each further section; also a
general supplement of an extra ticket was in force on Sundays and
holidays. Single journey tickets could be bought from the driver on the
bus but were
more expensive.
|
|
L'horaire des tramways
d'été 1925 montre une fréquence de sept et demi minutes pour la partie
centrale de la ligne avec une fréquence d'une quinzaine minutes
de la Place du Chateau vers Tourlaville et vers Équeurdreville. Querqueville n'était
servi que toutes les trente minutes et Urville n'avait que huit services par jour
(porté à vingt-deux départs le dimanche). Pendant les années 1930, les
recettes de l'opération des tramways ne couvrent pas les dépenses et à
partir de 1935 - avec des déficits croissants - l'exploitation a été placé
sous contrôle du gouvernement local. À l'été 1936, la prolongation
au-delà de Querqueville à Urville était assuré par autobus.
L'exploitation était
alors très aléatoire, avant de cesser le 29 mai
1944, à la suite d'un bombardement qui détruisit notamment le dépôt et
le matériel. La
reconstruction a
été sujet de la discussion politique locale parce'que les coûts
tomberait sur la ville de Cherbourg mais Tourlaville et Équeurdreville
tirer avantage. L'après-guerre de
1945 les autobus de remplacement assuraient une seule ligne traversant
le
centre de Cherbourg de Tourlaville à Équeurdreville et
Querqueville, en suivant l'ancienne ligne du tramway (Urville était
desservi tous les jours en été, mais les jours de marché seulement en
hiver).
Considération a
été donnée à l'époque pour établir une ligne de trolleybus, mais cela n'a
pas été poursuivi. Il a fallu attendre le début des années 1960 - avec
la reconstruction majeur du centre-ville, en particulier dans la zone
autour de la Place Divette - que
certaines extensions modestes ont été faites pour servir les zones de
logements hors de la principale ligne de bus le long de la ligne de
tramway ancienne, la première étant pendant cette année à St Jean des
Carrières (ligne 4). En même temps le nom a été changé de la
Compagnie des Tramways à la Compagnie des Transports de Cherbourg.
En
commun avec la plupart des bus urbains français de l'époque les tarifs
étaient facturés par section et les carnets de vingt billets ont été
vendus à l'avance dans les kiosques et chez les commercants.
Voyager une seule section
a nécessité trois billets avec un billet
supplémentaire demandé pour chaque section supplémentaire; également un
supplément général d'un billet était en vigueur les
dimanches et jours fériés. Billets aller simple peut être acheté
auprès du chauffeur mais étaient plus chers.
|
|
The bus
routes listed in the summer 1962 edition of the
CTC timetable were as follows:
Les lignes de bus
figurant dans l'edition de l'horaire de la CTC pour l'été 1962 comme
suite:
1.
Les
Flamands - Cherbourg - Les Terrasses (Équeurdreville)
daily - tous les
jours
2. Tourlaville Mairie - Cherbourg -
Arsenal daily
- tous les jours
3. Cherbourg - Équeurdreville
- Querqueville - Lotissement du Bois or Urville (many
of these runs terminated at Querqueville) daily - t.l.j.
4. St Jean des Carrières -
Cherbourg - La Bucaille (the newest route at this time) weekdays only - sauf le dimanche
Additional Thursday only market services, the first four of which which
were covered
in the main by two buses interworking:
D'autres services
de jeudi jour du marché, qui ont été couvertes pour l'essentiel par
deux bus en interfonctionnement:
|
Cherbourg - St Jean des Carrières - Hameau Quévillon
Cherbourg - Hameau Guéry - Hainneville
Cherbourg - La Minoterie de la Roche
Cherbourg - La Chapelle des Rouges Terres
Cherbourg - bas du Chemin des Fourches
|
|
|
The blue and cream buses were extended southwards
with new
services added to include the
adjoining community of Octeville as the successor to Transports
Pasquier in March 1963.
The July 1963 CTC timetable shows further route extensions to other
growing
residential areas (eg ligne 3 to Tourlaville Eglantine and a new ligne
6 serving both Hameau Guéry in the west (previously only
served on Thursday market days) and also to new housing development at
Amont
Quentin, to the south of the railway station).
Les bus bleu et
crème ont été étendues vers le sud avec de nouveaux services ajoutés
pour inclure la communauté voisine de Octeville comme successeur des Transports Pasquier
en mars 1963. L'horaire juillet 1963 de la CTC montre des extensions vers
d'autres zones résidentielles (par exemple ligne 3 à Tourlaville
Eglantine et une nouvelle ligne 6 servant Hameau Guéry à l'ouest
(auparavant, seuls servi le jeudi jour de marché) et également au
développement des nouveaux logements au Amont Quentin, au sud de la
gare SNCF).
1. Les
Flamands - Cherbourg - Équeurdreville - Urville (most
services still terminated at Les Terrasses) daily - tous les jours
2. Tourlaville Mairie - Cherbourg -
Équeurdreville - Urville (most services terminated at Les
Terrasses) daily
- tous les jours
3. Tourlaville Eglantine -
Cherbourg - Querqueville - Urville (many services terminated at
Querqueville) daily
- tous les jours
4. St Jean des Carrières -
Cherbourg - La Bucaille weekdays only - sauf dimanche
5. Cherbourg - Octeville
(the ex-Pasquier route, extended Thursdays only some distance
south-westwards to the
villages of Vasteville and Héauville) weekdays
only - sauf dimanche
6. Amont Quentin - Cherbourg -
Équeurdreville - Hameau Guéry weekdays only - sauf dimanche
And there were still additionally the Thursday
only market
services as in 1962
above, except that the Chemin des Fourches service was now incorporated
into the regular ligne 4 timetable for la Bucaille, rather than being
shown separately; the 'bas du Chemin des Fourches' being passed on
route by the la Bucaille runs.
Et il y avait
encore en plus les services de jeudi jour du marché comme en 1962
ci-dessus, sauf que la ligne de Chemin des Fourches était désormais
incorporée dans l'horaire de la ligne régulière 4 de la Bucaille,
plutôt que d'être indiqué séparément; le 'bas du Chemin des Fourches'
étant passé sur la route par les circuits de la Bucaille.
|
Cherbourg,
Place de Gaulle in the early 1960s, a Renault-Gruau in the old dark
blue and cream livery loading on ligne 3 for
Urville.
Cherbourg, Place de Gaulle, années 1960, un Renault-Gruau dans l'ancienne livrée bleu sombre et crème sur la ligne 3
pour Urville.
(photo by John Carman) |
|
Cherbourg,
Place de Gaulle 1965, Chausson in the newer livery of that
time. A second hand purchase for CTC, the bus is
westbound.
Cherbourg, Place de
Gaulle 1965, Chausson dans la nouvelle livrée de
l'époque. Un achat d'occasion pour la CTC, le bus dirige vers l'ouest.
(photo by John
Carman)
|
|
Cherbourg, Place de
Gaulle again, probably in the 1960s. A CTC bus loads at the left, and a
bus of Transports Schmidt
of Cherbourg leaves on the right of the picture
Cherbourg, Place de
Gaulle à nouveau, probablement pendant les années 1960. Un autobus CTC
en charge à la gauche,
et un bus des Transports Schmidt de
Cherbourg départ vers la droite de l'image
|
|
|
|
Map of
the CTC bus routes as appearing in their timetables in the
early 1960s
(not that
dissimilar to the 1925 tram map above!)
Plan des lignes de bus de la CTC comme figurant dans les horaires dans
le début des années 1960
(non pas dissemblables au plan tram 1925 dessus!)
|
|
|
|
|
Summer 1925 tram
timetable
L'horaire tram été 1925
|
Summer 1962 timetable, still Cie des Tramways
L'horaire été 1962, encore Cie des Tramways
|
Winter
1962 timetable, now Cie des Transports
L'horaire hiver 1962, maintenant Cie
des Transports
|
|
|
|
|
Sample timetable page (weekdays) from July
1962 booklet
Page-exemple de l'horaire (en semaine) de livret Juillet 1962
|
|
Sample
timetable page (Sundays) from July 1962 booklet
Page-exemple de
l'horaire (dimanche) de livret Juillet 1962
|
|
|
|
|
|
|
The
CTC fares (for both pre-purchased carnets and tickets bought on the
bus) and sections as given in the October 1962 timetable book
Les tarifs de la CTC (pour carnets et les billets achetés sur le bus)
et les sections comme indiqué dans le livre-horaires Octobre 1962
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
CTC carnet tickets
from
the
1960s - billets de carnet des années 1960 -
(courtesy of Malcolm Chase)
|
Tarif Réduit (reduced fare) 1965
|
Tarif Plein (full adult fare) 1966
|
|
|
|
|
|
In
1967 there were 24 buses in the fleet, still housed at the former
tram
depot at 1 Rue Gambetta in the la Fonderie
locality,
east of Cherbourg and at the western approach to Tourlaville.
It
remained in use as the CTC bus depot until 1981, when a new modern
depot was constructed not far away from there in the
industrial zone at Rue de la Chasse aux Loups.
The operation was commercial ("aux risques et périls")
until 1975 and suffered increasing deficits from loss of patronage to
the private car, despite some financial support from the municipality
from the 1960s onwards. From 1976 the CUC - Communauté Urbaine de
Cherbourg - Urban
Community of Cherbourg - took over the responsibility of the transport
network, and this permitted renewal of vehicles and further route
extensions and service developments which were
introduced to better meet the needs of the local
population. Operations were contracted to Keolis (who were to retain the contract until 2021).
|
|
En
1967, il y avait 24 bus dans le parc, toujours logés au ancien dépôt
de tramways à 1, rue Gambetta dans la localité de La Fonderie, à l'est
de Cherbourg et à l'approche occidentale de Tourlaville. Il restait en
usage comme dépôt de bus de la CTC jusqu'en 1981, quand un nouveau
dépôt moderne a été construite non loin de là, dans la zone
industrielle rue de la Chasse aux Loups. L'opération a été commerciales
("aux risques et périls") jusqu'en 1975 et a subi des déficits
croissants de la perte de patronage à la voiture particulière, malgré
un certain soutien financier de la municipalité à partir de 1960. En
1976 la CUC - Communauté Urbaine de Cherbourg - a pris la
responsabilité du réseau de transport, et ce renouvellement autorisé
des véhicules et des extensions de la route et développements de
services qui ont été introduites afin de mieux répondre aux besoins de
la population locale. L'exploitation a été confiée à Keolis (qui conserverait le contrat jusqu'en 2021).
|
The
bus routes have been
further extended several times in recent years to provide service to
new
housing developments well
away from the line of the original east-west tram route, eg Hainneville
and Amfreville to the west
and La Glacerie to the south. Some of the nearby former rural
areas around Cherbourg, once served only by Thursday market buses, are
now part of the urban conglomeration. The main town centre departure
point for most services in Cherbourg from 1982 became the Boulevard
Schuman, where an enquiry office was opened in 1993. Prior to
this the main in-town point had been the Place de Gaulle. In
1987 the operator had a fleet of 41 vehicles and
employed 99 people
(69 of whom were
drivers). Twenty two years earlier in 1965 there had been 30
drivers; in 1959 but 13. In 1976 CTC became part of the
VIA group of
companies (later renamed Keolis), and
continued as the designated passenger transport
concessionaire of the Urban Community of Cherbourg. 1996 saw a fleet of
56 vehicles, of which 4 were articulated buses. 116 personnel were
employed of whom 90 were drivers. In 1995 5.4 million passengers were
carried across the six communes of the Urban Community with its 96,000
inhabitants.
A comprehensive
service runs on weekdays from morning
till early evening, but only a very limited service on Sundays and
holidays. In common with many French urban bus operations,
services cease at around 8 o'clock in the evening although
a development in 1995 saw the introduction of limited late
evening
runs until
midnight on the two main routes on Fridays and Saturdays only
(subsidised by the Urban Community). Additionally there
are some Thursday and Saturday only market services to nearby villages
(eg Le Becquet to the
east and Urville to the west), with route 10 replacing in part former
STN country
services. There are also summer buses to the beaches, a
special service to
the ferry terminal (Gare Maritime) and to the new
Cité de la Mer leisure attraction, as well as workers buses
to and from the naval
Arsenal and also a taxi-bus linking the town centre to a housing
development at
Villa Rocca.
After
many years trading as CTC, in 1992 the company adopted Zéphir
Bus
as their operating name. In June 1996 the company and the urban
community jointly celebrated "100 ans de transports urbains
à
Cherbourg" (one hundred years of urban transport in Cherbourg),
publishing a celebratory book.
|
A Renault PR100MI seen in the
next CTC livery, picture taken in 1988
Un Renault PR100MI vu dans la CTC livrée prochain, photo prise en 1988
(photo John Carman)
|
Les
lignes de bus
ont été prolongé encore à plusieurs reprises ces dernières années pour
offrir service aux nouveaux développements résidentiels bien loin de
la ligne du tramway est-ouest d'origine, par exemple Hainneville et
Amfreville à l'ouest et La Glacerie au sud. Certains des anciens
proches zones rurales autour de Cherbourg, une fois servi par les bus
du marché le jeudi, font désormais partie de l'agglomération urbaine.
Le point de départ principale du centre ville pour la plupart des
services à Cherbourg est devenu le Boulevard Schuman de 1982, où une
Agence était ouverte en 1993. Avant cela le principal point dans la
ville était la Place de Gaulle. En 1987, l'opérateur dispose d'un
parc de 41 véhicules et employait 99 personnes (dont 69 étaient des
conducteurs). Vingt deux ans plus tôt, en 1965, il y avait eu 30
conducteurs; en 1959, seulement 13. En 1976, la CTC est devenue une
partie du groupe de sociétés VIA (rebaptisé plus tard comme Keolis) et
a continué en tant que concessionnaire désigné de transport
désigné par la CUC.
1996 a vu un parc de 56 véhicules, dont quatre étaient des autobus
articulés. 116 personnes étaient employées, dont 90 étaient des
conducteurs. En 1995, 5.400.000 voyageurs ont été transportés à travers
les six communes de la CUC avec ses 96 000 habitants.
Un
service complet
est assuré du lundi au vendredi, mais
seulement un service limité les dimanches et jours fériés. En
commun avec de nombreux exploitants des autobus urbains français, les
services cessent vers 8 heures du soir. Un développement en 1995 a
vu l'introduction des services fin de soirée limitée, circulant jusqu'à
minuit sur les deux routes principales les vendredis et samedis
seulement (subventionné par la CUC). En plus il y a
quelques services du marché le jeudi et samedi vers les villages
voisins (par exemple Le Becquet à l'est et Urville à l'ouest), avec la
ligne 10 remplaçant en partie des anciens services STN
rurales. Il y a également des bus des plages en été, un service
spécial pour la Gare Maritime et pour la
nouvelle attraction de la Cité de Mer, ainsi que les bus ouvriers pour
l'arsenal de la marine, et aussi un taxi-bus vers un développement des
logements à la Villa Rocca.
En 1992, après
de nombreuses années comme la CTC, la société a adopté Zéphir
Bus comme nom d'exploitation. En juin 1996 la société et la
communauté urbaine ont célébré "100 ans de Transports
Urbains à Cherbourg" et ont publié un livret de célébration.
|
|
Cherbourg in the 21st century - a Heuliez
GX107 of Zéphir Bus, seen near the station, returning 'light'
to the depot in
2002
Cherbourg au 21e siècle - un GX107 Heuliez de Zéphir Bus, vu près de la
gare, retour à vide au dépôt en 2002 (photo John Carman) |
|
Zephir
Bus today - a GX107-2 Heuliez in Boulevard Schuman in Cherbourg town
centre
Zephir Bus aujourd'hui - un Heuliez GX107-2,
Boulevard Schuman à Cherbourg centre-ville, sur la ligne 8
|
|
|
The story of urban transport in Cherbourg in the 21st century continues here
L'histoire des transports urbains à Cherbourg au 21ème siècle se poursuit ici
|