SOCIÉTÉ DES TRANSPORTS DE NORMANDIE

The main interurban bus operator in Manche département 1953 - 2007

Exploitant principal des bus interurbains dans la Manche 1953 - 2007

                         part of the Verney group  -  partie du groupe Verney

  stn logo

                        A look at their services around Cherbourg and the north Cotentin across the years

                             Un regard sur leurs lignes autour de Cherbourg et le nord Cotentin au fil des années


For current information and timetables of bus services in Manche please visit the Nomad website

Pour les informations actuelles et les horaires de bus dans la Manche visitez le site Nomad

NB - This is a site of historical record and does not contain current service information
 
Il s'agit d'un site d'archives historiques et ne contient pas de données actuelles


Cherbourg and STN


Cherbourg et la STN
Until 2006 the Société des Transports de Normandie (STN) had operated the majority of the interurban buses in the département of Manche for over fifty years.  Part of the Verney group with the head office at Le Mans the local direction in Manche was originally at Granville. There were other local centres at Cherbourg, Coutances, Avranches and Saint-Lô. 

My first acquaintance with the STN operation was in 1962 on a visit to Cherbourg, when there were two departure points in the town according to the destination of the buses.  The buses running east and south-east from the town departed from the Autogare in the Avenue Jean François Millet, opposite the mainline SNCF rail station. The autogare building had been the old local départemental railway station which had been used for many years as the town terminus for the Chemins de Fer Normands (CFN) standard gauge autorails (originally steam powered) from Cherbourg to Barfleur and Saint Vaast la Hougue.  These had finally ceased running in 1950, having been reprieved in part by a shortage of fuel for buses in the war years, and then severely disrupted by the fighting in 1944, and then reintroduced substantively in 1947 for three more years (but with supplementary bus journeys).

Jusqu'en 2006, la Société des Transports de Normandie (STN) exploitait depuis plus de cinquante ans la majorité des bus interurbains du département de la Manche. Partie de groupe Verney avec siège social au Mans et la direction locale pour la Manche initialement à Granville. Il y avait d'autres centres locaux à Cherbourg, Coutances, Avranches et Saint-Lô.

Mon premier contact avec les services de la STN a été en 1962 lors d'une visite à Cherbourg. L
à il y avait deux points de départ dans la ville selon la destination de l'autocar. Les cars allant vers l'est et sud-est de la ville font leurs départs de l'Autogare dans l'avenue Jean-François-Millet, en face de la gare SNCF. Le batiment de l'autogare était l'ancienne gare locale qui avait été utilisée pendant de nombreuses années comme terminus des Chemins de Fer Normands (CFN) et ses autorails à voie normale de la ligne Cherbourg à Barfleur et Saint Vaast la Hougue. Ceux-ci ont finalement cessé de courir en 1950, après avoir été gracié en partie par une pénurie de carburant pour les autobus dans les années de guerre, puis gravement perturbés par les combats en 1944, puis réintroduit en 1947 pour trois années encore (avec courses supplementaires par autocar).

The two in-town termini in Cherbourg and their separate departure points reflected the development of the various country area routes around Cherbourg from different origins.  The easterly route (later STN ligne 1) to St Pierre Eglise, Barfleur and Saint Vaast la Hougue departed from the Autogare opposite the rail station. This had grown out of the CFN local railway which had opened between 1886 and 1911, and was nicknamed "Tue-Vaques" ("cow-killer") reflecting incidents over the years!  This was later supplemented to a degree by bus operation from the 1930s onwards - and there were also competitors too at that time until the restrictions of the co-ordination law of 1934.  CFN (which later merged into STN) included an alternative bus route from Cherbourg more directly to Saint Vaast la Hougue via the Val de Saire and Le Vast, this last operated in 1973.

Buses on STN routes 2 and 3 to the La Hague and Carteret, to the west and south-west of Cherbourg respectively,  departed from another STN office near the town centre at 10, rue de l'Ancien Quai.  These routes were previously run by SGTD, passing to STN in 1957.



Les deux terminus en ville de Cherbourg et les points de départ séparés reflètent le développement des diverses lignes du pays autour de Cherbourg et ses origines différentes. La route vers l'est (plus tard ligne 1 de la STN) vers St Pierre Eglise, Barfleur et St Vaast la Hougue fait son départ de l'Autogare en face de la gare ferroviaire. Ses origines étaient la voie ferrée locaux CFN qui avaient ouvert entre 1886 et 1911, et a été surnommé «Tue-Vaques», reflétant les incidents au cours des années! Ce fut ensuite complété d'une certaine mesure par le fonctionnement du bus à partir des années 1930 - et il y avait aussi trop de concurrents. CFN (qui devient plus tard la STN) assurait aussi une ligne de bus alternatif de Cherbourg plus directement à Saint Vaast la Hougue par le Val de Saire et Le Vast, cette dernière fonctionne jusqu'à 1973.

Les bus des lignes STN 2 et 3 à destination de La Hague et Carteret, respectivement à l'ouest et au sud-ouest de Cherbourg, partaient d'une autre agence STN proche du centre-ville au 10, rue de l'Ancien Quai. Ces lignes étaient auparavant gérées par la SGTD, passant à la STN en 1957.


A little history
Tue-Vaques train ticket / billet Cherbourg - Le Becquet
Un peu d'histoire
Amongst the very earliest bus routes in the département, the Cherbourg - Auderville route was approved in August 1913. This route was second only to the Cherbourg - Flamanville route approved in September 1912 and which started in December of that year.  The Auderville route was operated by the Compagnie des Auto Messageries de la Hague; the Flamanville route originally by Société des Automobiles et Cycles Peugeot, then M. Gros from 1914 and later from 1923 M. Schmidt.  billet tue-vaques de cherbourg au becquet Parmi les premières lignes de bus dans le département, la ligne Cherbourg - Auderville a été approuvé en août 1913. Cette service a été la deuxième avec Cherbourg - Flamanville approuvé plus tôt en Septembre 1912, et qui a commencé en Décembre de cette année. La route d'Auderville était exploité par la Compagnie des Auto Messageries de la Hague, la route de Flamanville à l'origine par la Société des Automobiles et Cycles Peugeot, puis M. Gros de 1914 et plus tard à partir de 1923, par M. Schmidt.



In September 1913 a proposal was put forward for metre-gauge electric trams over these two routes - this was being seriously considered until the outbreak of the First World War in 1914, after which there was a period of uncertainty for the bus operation through shortage of fuel and requisitioning of vehicles.  By 1917 a horse drawn carriage was working the Auderville / Jobourg route and it was one of the first motor bus routes to be resumed in 1919 after the war ended. Following the war, in 1919 the mayor of Cherbourg asked the préfet of Manche for a subsidy of 800 old francs/km/per year to create a bus network around Cherbourg. So two main routes were put in place:  Cherbourg - Auderville, via Équeurdreville and Hainneville; and Cherbourg - Flamanville, via Tonneville, Sainte-Croix-Hague, Branville-Hague, Beaumont-Hague, Biville, Vauville and Les Pieux.

There was discontent in some quarters amongst the people of the district of la Hague who thought that motor buses were a poor substitute for a railway, believing that they had been told that the buses would be only a temporary measure until a rail line was built (this is discussed in the booklet  'Les autobus dans la Hague' published at Beaumont-Hague in July 1919). In 1920 a second route towards la Hague is noted as Cherbourg - Omonville, and in 1921 another route noted is Cherbourg - Flamanville - Barneville - Carteret. By this time these western routes (and also a route eastwards from Cherbourg to St Vaast-la Hougue which started in 1922, competing with the "Tue-Vaques" local rail line) were being operated by Société  des Ateliers Atlas de la Manche. 

Atlas was a national company, based in Paris, with a diverse range of transport interests around the country. By the year 1924, if not before, Atlas locally had become the Société des Automobiles de la Manche and then in 1925 these routes passed to the local branch of another expansionist national company, also with interests around the country, SGTD - Société Générale des Transports Départementaux. SGTD had been founded in 1919 and was known locally as the Transports Départementaux de la Manche. In Cherbourg the SGTD were located at 10, rue de l'Ancien Quai.
atlas bond En Septembre 1913, une proposition a été présentée pour tramways électriques à voie métrique pour ces deux routes - cela a été sérieusement envisagée avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale en 1914, après quoi il y avait une période d'incertitude pour l'exploitation du bus avec la pénurie de carburant et la réquisition de véhicules. En 1917, une calèche travaillait la route Auderville / Jobourg et il a été l'une des premières lignes de bus à moteur que soit repris après le fin de la guerre. Après la guerre, en 1919, le maire de Cherbourg a demandé au préfet de la Manche une subvention de 800 anciens francs / km / par an pour créer un réseau de bus autour de Cherbourg. Donc, deux lignes principales ont été mises en place: Cherbourg - Auderville, via Équeurdreville Hainneville et Cherbourg - Flamanville, via Tonneville, Sainte-Croix-Hague, Branville-Hague, Beaumont-Hague, Biville, Vauville et Les Pieux.

Il y avait un mécontentement dans certains milieux parmi les gens de la Hague qui pensaient que les autobus étaient pauvre substitut pour le chemin de fer, croyant qu'on leur avait dit que les autobus étaient une mesure temporaire jusqu'à qu'une ligne ferroviaire a été construit (ce qui est décrit dans 'Les Autobus dans La Hague' publié à Beaumont-Hague en Juillet 1919). En 1920, une seconde ligne en direction de La Hague est à noter sur Cherbourg - Omonville, et en 1921 une autre ligne Cherbourg - Flamanville - Barneville - Carteret. A l'époque, ces routes vers l'ouest (et aussi vers l'est une ligne de Cherbourg à Saint-Vaast-la Hougue qui a débuté en 1922, en concurrence avec le 'Tue-Vaques' ligne ferroviaire locale) étaient exploités par la Société des Ateliers Atlas de la Manche.

Atlas était une entreprise nationale, basée à Paris, avec un large panoplie d'intérêts de transport à travers le pays. En 1924, sinon avant, Atlas localement était devenue la Société des Automobiles de la Manche puis en 1925 ces lignes ont passé à la branche locale d'une autre société expansionniste nationale, avec des intérêts à travers le pays, SGTD - Société Générale des Transports Départementaux. SGTD avait été fondée en 1919 et était connu localement comme Transports Départementaux de la Manche. A Cherbourg la location de la SGTD était au 10, rue de l'Ancien Quai.
Atlas ticket / billet
back of Atlas ticket / dos de billet Atlas
SAM ticket / billet 1920s
A little history about the SGTD which was founded in 1919 and grew from the idea of bus services subsidised by the départements themselves.  It was to grow into the biggest road transport enterprise in France, with more than 1300 vehicles in 1927. In later years it became part of the VIA-GTI group.

Un peu d'histoire. SGTD a été fondée en 1919 et a été dérivé de l'idée de services d'autobus subventionnés par les départements. Il a grandi dans la plus grande entreprise de transport routier en France, avec plus de 1300 véhicules en 1927. Des années plus tard il est devenu partie du groupe VIA-GTI.

Compagnie des Chemins de Fer Normands (CFN)
 

Before the development of bus routes local rural transport was provided by local railways. There were originally three local rail companies in the département of la Manche: Tramways Normands (TN), Chemins de Fer Départementaux (CFD), and Chemins de Fer de la Manche (CFM).  CFD and CFM were in financial difficulty by 1925 and it was agreed that TN take over all of the local railways. TN became the Compagnie des Chemins de Fer Normands (CFN) in 1928, operating both trains and buses.

The CFN company operated trains and buses at the same time for some years. In Manche the département first drew up plans for a network of bus lines in 1932. Most of the lines were metre gauge and many of the lines closed during the 1930s and were replaced by CFN buses, except the standard gauge lines in the Barfleur area, running from there west and south to Cherbourg, Montebourg and Valognes, the last of which to Cherbourg survived in passenger operation until 1950.
CFM ticket
Compagnie des Chemins de Fer Normands (CFN)
 
Avant le développement des lignes de bus le transport local en milieu rural a été assuré par les chemins de fer locaux .Il y avait initialement trois compagnies ferroviaires locales dans le département de la Manche: Tramways Normands (TN), Chemins de Fer Départementaux (CFD) et Chemins de Fer de la Manche (CFM). CFD et CFM ont été en difficulté financière en 1925 et il arrive que les TN reprend l'ensemble des chemins de fer locaux. TN est devenue la Compagnie des Chemins de Fer Normands (CFN) en 1928, avec exploitation des trains et des autocars.

La société CFN exploitait des véhicules routiers en même temps que les trains. Dans la Manche le département a conçu des plans pour un réseau de lignes de cars pour la première fois en 1932. La plupart des lignes étaient voie métrique et la plupart sont fermées dans les années 1930 et ont été remplacés par des cars CFN, à l'exception des lignes à voie normale dans la région de Barfleur, vers Cherbourg, Montebourg et Valognes, dont le dernier à Cherbourg a survécu jusqu'en 1950. 


The 'Tue-Vaques' train at the station in Cherbourg, about to leave for Barfleur a hundred years ago. The station building still survives as the bus station for Cherbourg (compare with photo below).
Le train de «Tue-Vaques» à la gare départemental de Cherbourg, sur le point de départ pour Barfleur il ya cent ans. Le bâtiment de la gare survit encore comme gare routière de Cherbourg (comparez avec la photo ci-dessous).                           (photo collection Combes)

la tue-vaques au depart de Cherbourg

By 1928 the French railways were becoming concerned at the extent of road transport competition. As a contra-measure that year they established SATOS  -  Société Auxiliaire des Transports de l'Ouest et Sud-ouest  -  to provide bus services complimentary to the rail services. Rather than operate their own network, SATOS often made use of existing local operators and their services, so in la Manche that was both CFN and SGTD. 

Another important operator was
Transports Citroën who operated regular routes in many parts of France from the year 1932. This included the 'Rapides de Normandie', whose routes reached Cherbourg from Caen in the 1930s (until July 1934). The law establishing the Plan for Co-ordination of Transports had been published on 19 April 1934.



En 1928, les chemins de fer français ont été préoccupé par l'ampleur de la concurrence du transport routier. En tant que contre-mesure cette année ils ont établi SATOS - Société Auxiliaire des Transports de l'Ouest et Sud-Ouest - pour fournir des services de bus complémentaires au réseau ferroviaire. Plutôt que d'exploiter leur propre réseau, SATOS souvent fait emploi des opérateurs locaux, qui étaient dans la Manche CFN et SGTD.

Un autre exploitant important était Transports Citroën qui a assuré des lignes régulières dans de nombreuses régions de France à partir de l'année 1932. Cela comprenait les <Rapides de Normandie>, dont les routes atteint Cherbourg de Caen dans les années 1930 (jusqu'à juillet 1934). Consécutifs aux décrets-lois de 19 avril 1934 pour la mise en place  du Plan de Coordination des Transports.



1952-53 CFN timetable booklet   -   livret-horaires CFN 1952-53

cover of 1952-53 CFN timetable booklet


lignes CFN 1952



Société des Transports de Normandie (STN)


Société des Transports de Normandie (STN)

The Société des Transports de Normandie (STN) name was originally set up on 29 June 1943 - but as a road freight company only. (The passenger operations continued under the CFN name). Both companies were part of the wide ranging  Verney group.  The last local rail service ceased operations on 30th September 1950 (the famed "Tue-Vaques" line from Cherbourg to Barfleur), after that it was buses only.  

The STN company expanded into road passenger services by taking over the CFN buses in 1953.  Then on 28 February 1957 the Société des Transports Départementaux de la Manche (SGTD) closed and passed its routes to STN, bringing together the two bus networks based on Cherbourg. 


The Cherbourg - Auderville, Cherbourg - Omonville, Cherbourg - Bricquebec - Barneville - Carteret and Valognes - Bricquebec - Carteret routes were run by SGTD until they passed to STN in 1957 when SGTD withdrew from Manche, at a time when nationally they had decided to concentrate their resources in areas of the country where they were principal operators.  The Auderville and Omonville routes were combined as STN route 2, whilst Cherbourg - Carteret became route 3 and Valognes - Carteret route 4 (as below).


La Société des Transports de Normandie (STN) - le nom a été initialement mis en place le 29 Juin 1943 - mais comme une compagnie de marchandises uniquement. (Les opérations de voyageurs a continué sous le nom CFN). Les deux sociétés faisaient partie du groupe Verney. Le service ferroviaire locale dernière a cessé le 30 Septembre 1950 (le fameux "Tue-Vaques" de Cherbourg à Barfleur), après qu'il a été uniquement les cars.

La société STN a élargi ses services de voyageurs par route en prenant en charge les cars CFN en 1953. Puis le 28 Février 1957, la Société des Transports Départementaux de la Manche (SGTD) a cessé ses lignes en faveur de la STN, réunissant les deux réseaux de cars au départ de Cherbourg.


Les lignes Cherbourg - Auderville, Cherbourg - Omonville, Cherbourg - Bricquebec - Barneville - Carteret et Valognes - Bricquebec - Carteret étaient dirigées par SGTD jusqu'à ce qu'ils passent à STN en 1957 lorsque SGTD a retiré de la Manche, à un moment où à l'échelle nationale ils avaient décidé de se concentrer leurs ressources dans les régions du pays où ils ont été l'exploitant principal. Les lignes d'Auderville et d'Omonville ont été combinés en la ligne STN 2, tandis que Cherbourg - Carteret est devenu la ligne 3 et Valognes - Carteret ligne 4 (comme ci-dessous).


Advertisement from the 1950 Cherbourg town guide showing the then SGTD bus services to Beaumont, Jobourg and Carteret.

Publicité dans le guide 1950-ville de Cherbourg montrant les services de bus, puis SGTD, à Beaumont, Jobourg et Carteret.
SGTD advertisement from 1950 Cherbourg guide

The CFN advertisement from the same 1950 guide.  The autorails are still running between Cherbourg and Barfleur but this will be their last year of operation.  CFN / SCF were the predecessors of STN.

L'annonce CFN de la même 1950 guide. Les autorails sont toujours en cours entre Cherbourg et Barfleur, mais ce sera leur dernière année d'exploitation. CFN / SCF étaient les prédécesseurs de la STN.
CFN advertisement 1950 Cherbourg guide
This page from the 1950 guide book for Cherbourg lists the bus and rail routes from the town.  Of interest is the entry for Autocars Laisne from Cherbourg to Saint Pierre Eglise and Cosqueville. The Tue-Vaques rail line did not serve Cosqueville, nor did the CFN / SCF buses at the time.  M. Laisné of St Pierre Eglise is believed to have been one of the two bus proprietors who sold their businesses to Choubrac of Cherbourg in 1954. Although Choubrac operated two bus routes (Cherbourg to Vasteville and Cherbourg to Picauville-Pont l'Abbé) the service to Cosqueville was not one of them. The Laisné service to Cosqueville is thought to have ended between 1950 and 1952 (the autumn 1952 timetable for CFN shows buses three times a day from Cherbourg to Cosqueville). It would not be unreasonable to suppose that CFN / STN started to serve Cosqueville when bus services in the area were reorganised following the closure of the local rail line in September 1950. In pre-war years M. Lerouvreur of Barfleur also ran a route between there and Cherbourg - this was not included in the planned departmental network of bus lines.


Cette page du livre-guide 1950 pour Cherbourg énumère les lignes de car et rail de la ville. D'intérêt est l'entrée pour les Autocars Laisne de Cherbourg à Saint-Pierre-Eglise et Cosqueville. La ligne ferroviaire Tue-Vaques ne servent pas Cosqueville, ni les bus CFN / SCF à l'époque. M. Laisné est pensé d'avoir été l'un des deux propriétaires de bus qui a vendu leurs entreprises au Choubrac de Cherbourg en 1954. Bien Choubrac exploitait deux lignes de bus (Cherbourg à Vasteville et Cherbourg à Picauville-Pont l'Abbé), mais le service à Cosqueville n'était pas l'un d'eux. Dans les horaires d'automne 1952 le bourg de Cosqueville a été desservi par les cars CFN trosi fois par jour, donc le service de Laisné à Cosqueville est pensé d'avoir pris fin entre 1950 et 1952. Donc il ne serait pas déraisonnable de supposer que CFN / STN a commencé à servir Cosqueville lorsque les services d'autobus dans la région ont été réorganisés après la fermeture de la ligne ferroviaire local en Septembre 1950. Dans les années trente M. Lerouvreur de Barfleur a également assuré une ligne entre là-bas et Cherbourg - mais il n'était pas incrit dans le réseau départementale.
bus routes from Cherbourg 1950



Map of routes and timetable booklet July 1955

Plan des lignes et livret-horaires juillet 1955
STN map July 1955
STN timetable July 1955


The 1960s


Les années soixantes



These were the services ("lignes") that were being operated in the Cherbourg and north Cotentin area by STN buses in the summer of 1962:

Ce sont les lignes qui étaient exploités dans la région de Cherbourg et nord Cotentin par les cars de la STN pendant l'été 1962:

Ligne 1      Cherbourg - St Pierre Eglise - Barfleur - St Vaast-la-Hougue

(some journeys ran an alternate route via the Val de Saire and Le Vast on Thursday and Sunday)

(certains trajets par un itinéraire alternatif via le Val de Saire et Le Vast le jeudi et le dimanche)

billet de cherbourg à barfleur


Ligne 1C    St Vaast-la Hougue - Montebourg - Valognes

Ligne 2      Cherbourg - Beaumont Hague - Auderville - Jobourg (via either Biville or Urville)

Ligne 3      Cherbourg - Bricquebec - Barneville - Carteret

Ligne 4      Carteret - Barneville - Bricquebec - Valognes

Ligne 5      Cherbourg - Valognes - Montebourg - Carentan - Saint Lô

Ligne 10    Cherbourg - Valognes - Montebourg - Carentan - Coutances - Granville

A full list of the STN routes in 1962 is here  -  liste complète des lignes STN 1962 ici

 
                      A ticket from 1966

1966 ticket


A Verney LIP of STN at Carteret Gare in the early 1960s    (photo John Carman)
Un Verney LIP de la STN à Carteret Gare dans le début des années 1960


at carteret gare 1960s

In the south of the department

Other services run at that time (1962) by STN linked Saint-Lô with Coutances and Coutainville / Gouville (8); Saint-Lô with Granville via Tessy-sur-Vire, Percy and Cerences (11); Granville with Avranches via Carolles and St Jean-le-Thomas along the coast, a bus route with good level of service (12); Granville / Avranches with Mont Saint Michel / St Malo once a day (13); Avranches via Mortain to Domfront (16) - taken over by STN from Girard of Domfront at some time between 1954 and 1961; Avranches with St Hilaire du Harcouët (17); Pontorson station with Mont Saint Michel, an important tourist route (15); and Avranches with Saint James (14). 

Ligne 6 was a winter-only bus service between Carentan and Carteret via La Haye-du-Puits and Portbail, as the route was served by trains in summer.  Ligne 7 was then a Monday market day (also once a day in high summer only) service from Coutances via Gouville to Carentan (an extension of line 8 really), whilst ligne 9 was a Wednesday market day and summer Sunday service from Saint Lô  to Isigny (market) and Grandcamp on the coast. 

Tickets were usually bought from a local agent, typically a bar or cafe, in most of the towns and villages served, although the driver took fares from passengers boarding at the more remote stops. Bellgraphic type hand-written ticket machines were used by the drivers at the time.



Dans le sud du département

Autres services en exploitation à cette époque (1962) par STN: Saint-Lô à Coutances et Coutainville  / Gouville (8); Saint-Lô à Granville via Tessy-sur-Vire, Percy et Cérences (11); Granville à Avranches via Carolles et Saint-Jean-le-Thomas le long de la côte, une ligne de bus avec bon niveau de service (12); Granville / Avranches avec le Mont Saint Michel / Saint-Malo une fois par jour (13); Avranches via Mortain à Domfront (16) - STN a pris le relais de M. Girard de Domfront à un certain moment entre 1954 et 1961; Avranches à St Hilaire du Harcouët (17); Pontorson-gare à Mont Saint-Michel, une route touristique importante (15) et Avranches à Saint James (14).

Ligne 6 était un service de car en hiver seulement entre Carentan et Carteret en passant par La Haye-du-Puits et Portbail, parce'que la ligne était desservie par les trains en été. Ligne 7 était alors une ligne de marché le lundi (aussi une fois par jour en haut été) de Coutances via Gouville à Carentan (une extension de la ligne 8 vraiment); la ligne 9 a été pour le marché le mercredi et aussi le dimanche en été, de Saint-Lô pour Isigny (pour marché) et Grandcamp sur la côte. Les billets ont été achetés auprès d'un agent local, généralement dans un bar ou un café, dans la plupart des villes desservis. Le conducteur a pris le montant des voyageurs aux arrêts les plus éloignés. Les distributeurs de billets écrits à la main ont été utilisées par les conducteurs à l'époque.


Route map from the summer 1962 timetable
Plan des lignes de l'indicateur d'été 1962


1962 STN route map summer
Some sample timetable pages from the summer 1961 STN timetable can be seen here
Quelques exemples de pages de l'horaire STN de l'été 1961 peuvent être consultés ici



Vermey group

STN was part of the large Transports Verney / Tourisme Verney group, with headquarters in Le Mans, and with a dozen or more operating subsidiaries throughout the west of France.  Until 1953, STN was known as CFN (Chemins de Fer Normands), reflecting the autorail and country tramway origins of their services.  Being part of the Verney group, many of the buses operated were manufactured after 1940 by Verney themselves in Le Mans (Société des Automobiles et Matériels Verney).  The Verney group itself grew across France in the 1990s through acquisition of the routes of the former Transports Citroen.  In turn Verney was acquired by the Connex group in 2002.  (This involved 2700 buses and coaches and 3300 staff, with operations principally in the Pays de la Loire, Bretagne and Normandie but also in Rhône-Alpes, the Paris region and Alsace).  By 2006, STN and Connex had become part of the Veolia group.
STN bus stop sign
Groupe Verney

STN faisait partie de la grande groupe Transports Verney / Tourisme Verney, dont le siège
était au Mans, et avec une douzaine de filiales d'exploitation dans l'ouest de la France. Jusqu'en 1953, STN a été connu comme CFN (Chemins de Fer Normands), reflétant ses origines des autorails et tramways rurales. Faisant partie du groupe Verney, de nombreux autobus exploités ont été fabriqués après 1940 par Verney-mêmes au Mans (Société des Automobiles et Matériels Verney). Le groupe Verney a grandi à travers la France dans les années 1990 grâce à l'acquisition des lignes de l'ancienne Transports Citroën. À son tour Verney a été acquise par le groupe Connex en 2002. (Il s'agissait de 2700 autobus et autocars et 3300 employés, avec des opérations principalement dans les Pays de la Loire, Bretagne et Normandie, mais aussi en Rhône-Alpes, la région Parisienne et en Alsace). En 2006, STN et Connex était devenue partie du groupe Veolia.

The illustrations show two STN tickets from 1970. The smaller ticket on the left was issued by the driver on the bus. There is a carbon backing on the back of the top part of the ticket. The ticket on the right was issued by an agent, typically the 'cafe du coin' - in this case from St Pierre Eglise. In both cases the tickets are torn across to indicate the fare paid by the passenger. At other times (eg 1960s) the driver used a Control Automatiques ticket machine, similar to the Bellgraphic system used in the UK).


Les illustrations montrent deux billets de la STN de 1970. Le billet le plus petit sur le côté gauche a été émis par le conducteur du car. Il s'agit de carbone à l'arrière de la partie supérieure du billet. Le ticket de droite a été émis par un agent, généralement le «café du coin» - dans ce cas à St Pierre Eglise. Dans les deux cas, les billets sont déchirés pour indiquer le tarif payé par le voyageur. À d'autres moments (par exemple dans les années 1960), le conducteur utilisait un distributeur de billets Control Automatiques, similaire au système Bellgraphic utilisé au Royaume-Uni).

STN 1970 agent issue ticket
STN Driver issue ticket 1970
Tickets from the collection of Malcolm Chase




A new contract

Starting in 1963-1964 STN had won a major contract with several vehicles to transport workers to the construction sites of the nuclear industry in the Hague. Employees of the STN, in addition to the transportation of personnel, drove backhoes and bulldozers. In 1983 operations widened to include transporting the personnel of COGEMA the nuclear site operators. STN also provided transport for personnel of the civil engineering contractors who built new plants on the site for COGEMA. These companies were present in the Association Interentreprises of the Hague (AIEH). In a later year the construction of the Flamanville EDF plant began. Again STN provided transport for the personnel of the civil engineering companies grouped within AIEF (Association Interentreprises Flamanville) from 1980. All this transport accounted for up to 100 vehicles. This figure was then reduced when the plants had been built and came into the operational phase. Following the rise of the transport services staff to the factory at the Hague, STN had installed a fuel station in a bunker of the Atlantic Wall in the township of Jobourg.  From 1995 to 2002 part of the COGEMA contract was lost by STN tto the Courriers du Cotentin, part of the VIA-GTI group. The full contract was regained by STN in 2002 until 2007. Since 2007 transport has been provided by Keolis-Manche (which was in fact a rebranding of Courriers du Cotentin). COGEMA itself was renamed AREVA and is now called ORANO.

After the 1960s

From 1961, the effects of the post-war baby boom of 1947–1950 led to a sharp increase in the number of school buses needed daily. This activity increase further from 1963 with the age of compulsory school leaving raised from 14 to 16 years. The manna of school transport came at a time when the patronage of, and income from, the regular lines begins to decline.

The change in the schools half day from the long standing traditional Thursday afternoon to Wednesday in September 1972 meant alterations to the days of operation of the corresponding middle of the day departures on many of the STN lignes.  But Saturday morning classes were to continue for another thirty years.

The long established services started in the 1920s and previously operated by the private firm Transports Schmidt between Cherbourg - Les Pieux - Diélette - Siouville and Cherbourg - Les Pieux - Carteret - Portbail became ligne 7 of the STN in 1978 after retirement of the proprietor.  Initially the two former Schmidt routes were combined so that the bus coming from Carteret double-ran from Les Pieux to Siouville and back to Les Pieux on the way to Cherbourg. They were subsequently separated again, although the Carteret route had virtually disappeared apart from school journeys (but there were still regular weekday services on the Cherbourg - Siouville route).

From 1980 STN were also the operators of the town services (TUSA Transports Urbains de Saint Lô et d'Agneaux) in Saint Lô, the préfecture and administrative centre of the Manche département; but this passed within the Connex group to CGFTE on retendering from 1st January 2003.  Town services in Cherbourg and the surrounding urban community have always been the responsibility of CTC - Compagnie des Transports de Cherbourg.  These are now operated under the ZephirBus name.

In general terms the 1970s and 1980s were continuing decades of contraction of bus services in the département of Manche and across the Cotentin. Operation of ligne 16 from Avranches to Domfront passed to Cars Lebossé of Domfront in 1968 and operation of ligne 6 from Carentan to Carteret passed to Cars André  Menant of Carentan in 1971.  Until a change in legislation in 1983 (LOTI) permitting revenue guarantees where necessary to maintain a network of important routes, all routes were operated commercially at the operator’s own risk. In the summer of 1986 a through service from Barfleur to Carteret via Le Vast, Cherbourg and Bricquebec was introduced for the summer months of July and August.

From 1971 onwards the STN depot at Cherbourg was in the rue de la Saline, not far from the Autogare.  Then in 1987 a new local depot for STN was opened at rue Jean Bouin, Tourlaville, in the suburbs of Cherbourg. 110 vehicles were based here, together with 58 at Granville and 15 at Saint Lô. The head office of STN moved at this time from Granville to the new premises at Tourlaville.

In 1993 the fleet comprised about seventy vehicles.  The transport of scholars remained an important part of the daily work of STN, and many routes were based primarily around school journeys.  STN had also provided the vehicles for the rail replacement buses for the Cherbourg - Bricquebec - La Haye du Puits - Coutances rail line (the rail line closed in 1970 and replacement buses were provided by SCETA (later named EFFIA in 1998)).  These SCETA lines were to become own account STN lines in 2001.

After a change in the law in 1993 (loi Sapin)  tendering of bus routes became obligatory.  The first tendering exercise by the department of Manche was held in 1995.   By now all services now departed from the Autogare opposite the railway station, and the offices at rue de l'Ancien Quai were long closed (in 1971). 

Ligne 2 completely disappeared in the 1990s (replaced by schools only services of Collas Voyages) and there were then no public buses in the Beaumont Hague /  Jobourg area (but there are many workers contract buses morning and evening to and from the COGEMA nuclear establishment on the D901 road to Jobourg).  Ligne 4 had been combined with Ligne 3 to operate Carteret - Bricquebec - Valognes - Cherbourg, rather than directly from Bricquebec to Cherbourg as previously.  Ligne 10 now operated only south of Coutances towards Granville and the link "in the middle" between Carentan and Coutances had been broken for many years. 

From Cherbourg there were typically three buses a day each way on Ligne 1 (to Barfleur / St Vaast), one a day on combined Lignes 3/4 (to Carteret) and two a day on Lignes 5 (to Carentan / Saint Lô) and 7 (to Les Pieux / Siouville). 




Un nouveau contrat

La STN a gagné un contrat important avec plusieurs véhicules pour le transport des ouvriers des sites de construction de l'industrie nucléaire dans la Hague. Les premiers travaux ont commencé en 1963-1964. Des salariés de la STN, en plus du transport de personnel conduisaient des pelleteuses et des bulldozers. En 1983, les opérations se sont élargies pour inclure le transport du personnel de COGEMA les exploitants de sites nucléaires.. STN a également assuré le transport du personnel des entreprises de génie civil qui construisaient de nouvelles usines sur le site de la COGEMA. Ces entreprises étaient réunies dans l’Association Interentreprises de la Hague (AIEH). Dans une année ultérieure a débuté la construction de la centrale EDF de Flamanville. Là aussi, la STN. a assuré le transport du personnel des entreprises de génie civil regroupées au sein de l’AIEF (Association Interentreprises de Flamanville) depuis 1980. L’ensemble de ces transports a représenté jusqu’à 100 véhicules. Ce chiffre a ensuite diminué lorsque les usines construites sont entrées en phase d’exploitation. Suite à la montée en puissance des services de transport de personnel de l’usine de la Hague, la STN avait installé une station service dans un blockhaus du Mur de l’Atlantique sur la commune de Jobourg. De 1995 à 2002, une partie du contrat COGEMA a été perdue par STN au profit des Courriers du Cotentin, appartenant au groupe VIA-GTI. L'intégralité du contrat a été récupérée par STN de 2002 à 2007. Depuis 2007, le transport est assuré par Keolis-Manche (qui était en fait le nom nouveau des Courriers du Cotentin). COGEMA lui-même a été renommé AREVA et s'appelle désormais ORANO.

Après les années 60

À partir de 1961, les effets du baby-boom d'après-guerre de 1947 à 1950 ont entraîné une forte augmentation du nombre de bus scolaires nécessaires quotidiennement.  Cette activité va s'amplifier à partir de 1963 avec l'age de la scolarité obligatoire porté de 14 à 16 ans.  La manne du transport scolaire arrive à point au moment où le chiffre d'affaires des lignes régulières commence à décliner.

Le changement de la demi-journée des écoles du jeudi après-midi traditionnel de longue date au mercredi de septembre 1972 a entraîné des modifications des jours de fonctionnement des départs correspondants en milieu de journée sur de nombreuses lignes STN. Mais les cours du samedi matin devaient continuer encore trente ans.

Les services établis depuis longtemps dans les années 1920 et précédemment exploitée par la firme privée Transports Schmidt entre Cherbourg - Les Pieux - Diélette - Siouville et Cherbourg - Les Pieux - Carteret - Portbail ont devenu la ligne 7 de la STN en 1978 après la retraite de propriétaire. Initialement, les deux lignes anciens de Schmidt ont été combinées afin que le car venant de Carteret s'est détourné des Pieux à Siouville, puis retour aux Pieux pour descendre sur Cherbourg. Mais ils ont ensuite été séparés de nouveau, bien que la ligne de Carteret n'avait plus que les voyages écoliers (même si il y avait encore des départs réguliers la semaine sur la ligne de Cherbourg à Siouville).

A partir de 1980 la STN était aussi l'exploitant des services urbains (TUSA Transports Urbains de Saint-Lô et d'Agneaux) à Saint Lô, la préfecture et le centre administratif de la Manche; mais ca passe au sein du groupe Connex à CGFTE sur nouvel appel d'offres à partir du 1er Janvier 2003. Les lignes de bus de la ville de Cherbourg et de la communauté urbaine environnante ont toujours été la responsabilité de la CTC - la Compagnie des Transports de Cherbourg. Ce sont désormais exploités sous le nom de ZéphirBus.

En termes généraux les années 1970 et 1980 se poursuivaient comme décennies de contraction pour les lignes des autocars dans le département de la Manche et le Cotentin. L'exploitation de la ligne 16 d'Avranches à Domfront a passé à Cars Lebossé de Domfront en 1968 et la ligne 6 de Carentan à Carteret a passé à Cars André Menant de Carentan en 1971. Jusqu'à une modification de la loi (LOTI) en 1983 permettant des subventions, le cas échéant pour maintenir un réseau de lignes importantes, toutes les lignes ont été exploitées aux risques et périls de l'exploitant.  En 1986 une nouvelle ligne estivale a été essayé en Juillet et Août reliant Barfleur et Carteret à travers Le Vast, Cherbourg et Bricquebec.

A partir de 1971, le dépôt STN de Cherbourg se trouve rue de la Saline, non loin de l'Autogare.  Puis en 1987 un nouveau dépôt local pour la STN a été ouverte à la rue Jean Bouin, Tourlaville, dans la banlieue de Cherbourg. 110 véhicules étaient basés ici avec 58 à Granville et 15 à Saint Lô. La direction de la STN était transfert en ce moment de Granville dans les nouveaux locaux à Tourlaville.

En 1993, la flotte comptait environ soixante-dix véhicules. Le transport des étudiants est restée une partie importante du travail quotidien, et de nombreuses routes étaient basées principalement autour des voyages scolaires. STN a également fourni des véhicules pour les bus de remplacement pour la ligne de rail Cherbourg - Bricquebec - La Haye du Puits -  Coutances (fermée en 1970). Cars de substituution assurés initialement par SCETA (appelé EFFIA en 1998). Ces lignes SCETA devaient devenir des lignes pour la compte de la STN en 2001.

Après une modification de la loi en 1993 (loi Sapin), les appels d'offres pour les lignes de bus sont devenus obligatoires. Le premier appel du département de la Manche a eu lieu en 1995.  Tous les services sont maintenant au départ de l'Autogare face de la gare SNCF, et les bureaux de la rue de l'Ancien Quai étaient longtemps fermés (en 1971).

Ligne 2 a complètement disparu en les 1990s (remplacée par les services scolaires de Collas Voyages) et il n'y avait alors plus de bus publics à Beaumont Hague ou Jobourg (mais il ya beaucoup de cars de contrat pout les ouvriers le matin et le soir pour l'établissement COGEMA nucléaire sur la D901 à Jobourg). Ligne 4 avait été combinée avec Ligne 3 pour fonctionner Carteret - Bricquebec - Valognes - Cherbourg, plutôt que directement à partir de Bricquebec pour Cherbourg comme précédemment. Ligne 10 maintenant est exploité seulement au sud de Coutances vers Granville et le lien "au milieu" entre Carentan et Coutances avait été rompu pendant de nombreuses années.

De Cherbourg, il y avait généralement trois cars par jour dans chaque sens sur la Ligne 1 (à Barfleur / St Vaast), un par jour sur les Lignes combinées 3 / 4 (à Carteret) et deux par jour sur les lignes 5 (à Carentan / Saint-Lô) et 7 (vers Les Pieux / Siouville).


La Hague Nucléaire   -      This hitherto remote part of the north west corner of the Cotentin peninsula was to become home to two separate parts of the nuclear industry. Along the D901 near Jobourg the COGEMA facility was built in the 1960s to reprocess spent atomic fuel. Then to the south in Flamanville, on the site of a former iron mine closed in 1962, a nuclear powered electricity generating plant was built for EDF, going live in the mid 1980s.

La Hague Nucléaire   -      Cette partie quelque peu éloignée au nord-ouest de la presqu'île du Cotentin devait abriter deux parties de l'industrie nucléaire. Près de Jobourg l'usine COGEMA a été construite aux années 1960 pour retraiter les combustibles atomiques. Puis au sud à Flamanville, sur le site d'une mine de fer fermée en 1962, une centrale nucléaire a été construite pour EDF, mise en service au milieu des années 80.



Route map from the winter 1982 timetable - a noticeable gap now shows in the middle between Carentan and Coutances
Plan des lignes de l'indicateur d'hiver 1982 - un vide notable montre maintenant au milieu entre Carentan et Coutances


STN 1982 route map winter



STN buses outside the Gare SNCF at Granville (Manche) in the 1950s    (photo de S. Gardie)
Bus STN en dehors de la Gare SNCF de Granville (Manche) dans les années 1950

Granville



Mont St Michel, with several STN buses in the foreground.  Once served by a local rail line of TN from Pontorson
Mont St Michel, avec des plusieurs bus STN dans le premier plan. Une fois servi par une ligne ferroviaire locale des TN de Pontorson

Mont St Michel



A look back at STN's predecessor CFN - a Verney bus waits in Avranches for departure to Granville in this undated photo.
the history of transport links to the Mont can be found here.
Un regard en arrière à la CFN, prédécesseur de la STN - un bus Verney à Avranches attend le départ pour Granville dans un photo non datée
L'histoire des liaisons de transport vers le Mont se trouve ici.

A CFN bus at Avranches waiting to depart for Granville



A Verney bus of the STN at Pirou-Plage (Manche) in the 1960s    (photo de S. Gardie)
Un car Verney de la STN à Pirou-Plage (Manche) dans les années 1960





   The 1971 timetable shows a Verney bus of STN at Mont Saint Michel                       The cover of the 1979 timetable, now with the Verney title
   L'horaire 1971 avec un bus Verney de la STN au Mont Saint Michel                         Livret horaire 1979, maintenant avec le titre Verney
STN 1971 timetable   STN 1980 timetable





verney TD5 1980s





A Verney TD5 parked at Cherbourg bus station in the 1980s.  Originally a coach now in use as a service bus.     (photo John Carman)


Un TD5 Verney à la gare routière de Cherbourg dans les années 1980. A l'origine un car de luxe mais maintenant utilisé comme car de ligne.




Cherbourg 1992. Saviem E7L.





Cherbourg bus station in 1992.  A Saviem E7L, purchased second hand by STN.      (photo John Carman)


Gare routière de Cherbourg en 1992. Un E7L Saviem, achetés d'occasion par la STN.
STN Tracer on Ligne 7





Renault Tracer of Tourisme Verney at Siouville on STN ligne 7 from Cherbourg to Les Pieux and Siouville 



Renault Tracer de Tourisme Verney
à Siouville sur ligne 7 de la STN de Cherbourg vers Les Pieux et Siouville    (photo Richard Jacquemin)

The new STN depot at Tourlaville




1987 - the new depot of the STN at Tourlaville - previously the depot and workshop had been at Rue de la Saline near Cherbourg station


1987 - le nouveau depot STN de Tourlaville - auparavant le dépôt et atelier était dans la rue de la Saline près de la gare de Cherbourg
     ©A.S.P.T.V. par B.CASSIN S.T.N.
Parking area of the STN depot at Tourlaville




The parking area of the new Tourlaville depot in rue Jean Bouin - used by STN / TV from 1987 to 2007
The parking area (only) is still used by Keolis and Collas for their buses


Le parking de depot de Tourlaville
dans la rue Jean Bouin  -  au service de STN / TV à partir de 1987 jusqu'à 2007
L'aire de stationnement (seulement) est toujours utilisé par les cars de Keolis et Collas
©A.S.P.T.V. par B.CASSIN S.T.N.

the old STN depot in rue saline at Cherbourg




The former STN depot in rue de la Saline, Cherbourg



L' ancien dépôt STN rue de la Saline, Cherbourg

Carentan station april 1998




Along the route of ligne 5 at Carentan station in April 1998   (photo Bruno Cassin)



Sur la ligne 5 à la gare de Carentan avril 1998
 
       ©A.S.P.T.V. par B.CASSIN S.T.N.
different liveries STN from the 1980s and 1990s




The last Renault S53 in three different liveries. Furthest to the left the first version; then the second version from the 1980s and the nearest two have the last version from the 1990s. A Volvo is parked in the middle of the three S53.




Les derniers Renault S53 aux trois différentes couleurs (au fond, premi
ère version; deuxieme version années 80 et au plus près deux S53 avec la derniére version des années 90). On notera aussi un Volvo garé au milieu de ces S53   (photo Richard Jacquemin)
A Recreo and two Tracers at Cherbourg




A Réc
réo of STN and two Tracers of Tourisme Verney at Cherbourg


Un
Récréo de la STN et deux Tracers de Tourisme Verney à Cherbourg   (photo Richard Jacquemin)


Into the 21st century

Dans le 21ème siècle

In general from 2001 onwards STN was operated at a financial deficit. However in the summer of  2001 most of the main Cherbourg routes listed above from 1962 still survived in one form or another but at greatly reduced frequencies.

The six most  succesful STN routes at the time (in descending order) were 7  Cherbourg - Les Pieux - Siouville; 5 Cherbourg - Carentan - Saint Lô;  1 Cherbourg - Barfleur - Valognes; 12 Granville - Carolles - Avranches; 4 Valognes - Bricquebec; and 11 Granville - Bréhal.  The network of regular lines accounted for 29% of the company's activities.

later style of STN bus stop sign
En général, à partir de 2001, la STN a fonctionné en déficit financier. Cependant, à l'été 2001, la plupart des grands axes de Cherbourg énumérés ci-dessus à partir de 1962 ont encore survécu sous une forme ou une autre mais à des fréquences considérablement réduites.

A l'époque, les six lignes STN les plus performantes (par ordre décroissant) étaient 7 Cherbourg - Les Pieux - Siouville ; 5 Cherbourg - Carentan - Saint Lô ; 1 Cherbourg - Barfleur - Valognes ; 12 Granville - Carolles - Avranches ; 4 Valognes - Bricquebec; et 11 Granville - Bréhal.  Le réseau des lignes régulières représente 29 % des activités de l'entreprise.
The SCETA rail replacement routes became own account STN lines in 2001 and were numbered 34 for Cherbourg - Coutances, 32 for Carentan - Carteret (July and August only), 35 for Folligny - Pontorson. But in 2005 a big surprise. The department stopped the subsidies and lines 32 and 35 were abolished. Only line 34 Cherbourg Coutances was to continue running but in weekly service for high schools and colleges. Forward journeys on Monday mornings with returns on Friday afternoons.

Additionally STN had provided other rail replacement services at various times on the following lines:

Lison - Dol 
Coutances - Granville
Folligny - Granville
Carentan - Carteret (July and August) ligne 32
Coutances - Cherbourg      ligne 34
Folligny - Pontorson          ligne 35

For some years, the first three routes above, which are TER (Transport Express Régional) lines, were provided by Keolis, and then taken over by Veolia.

STN - as a Verney subsidiary joined the Connex group in 2002, this beoming Veolia in 2006 and STN was somewhat unhappily merged into VTNI Veolia Transports Normandie Interurbains in 2007. It was soon apparent that the new Connex management was to be differently focused to that of Verney eg tourism activities declined. Started in 1993, the subsidiary company Hurel Voyages of Torigni-sur-Vire was merged into the STN. 2002 also saw the loss of the contract for workers buses for the EDF electricity generating station at Flamanville to Transports Bellier. This contract had been held since 1980 by STN.

Route 15 from Pontorson to Mont St Michel was lost on retender in 2003 to Les Courriers Bretons. The winter 2004 timetables showed an increasingly greater emphasis on providing school related timings on the services. There were no longer any Saturday services at all from Cherbourg (Sunday services went many years ago) and even the Cherbourg - Coutances rail replacement service was now operated only on schooldays.  All non-schoolday journeys on ligne 5 (Cherbourg - Saint Lô) required a change of bus at Ste-Mère Eglise, with the Cherbourg and Saint Lô based vehicles and drivers returning on the sectors to and from their respective bases.

From 2003 to 2005 the STN operated boats between Carteret / Diélette / Granville and Jersey (through a subsidiary company SNN - Société Normande de Navigation). In 2005, after many operational problems and failures, this company became Manche Iles Express, managed by another shipping company and the SNN stopped its activities. There were two catamarans from the Norwegian fjords - Victor Hugo and Marin Marie - and they are still in use today. Relations between STN and the departmental authorities of Manche became strained because of these problems.

Fleet strength for STN in 2005 was 137 buses, operating on a mix of regular interurban services, school services, private hire, tours and excursions. Many buses on the regular lignes were out-stationed from depots with, in general, one or two parked in the main square of the village or in a shopping centre car park. Thus in the north there were buses parked in Quettehou, Barfleur and St Pierre Eglise for line 1; in Bricquebec, Sottevast and Les Moitiers d'Allonne for lines 3 and 4; in Carentan for line 5 and in Les Pieux and Siouville for line 7. Otherwise the buses were at the STN depots in Tourlaville, Saint Lô, Coutances and Granville.   In the south there were buses parked at Avranches station and at St Hilaire d'Harcouet. The only exception was an empty journey on line 14 to  to St James, but it was not very far. For school circuits drivers often parked them at their homes in the countryside.

2004 was a sad year for STN with the loss of school contracts in six communes and the loss of the TUSA urban network at Saint Lô (seventeen staff affected).

The STN head office, which moved from its long standing original location in Granville to Cherbourg-Tourlaville in 1987, moved again to Saint Lô in January 2006.  The summer 2006 timetable had four routes running to and from Cherbourg (no Sunday services, and only Ligne 1 had a limited Saturday service):

Ligne 1  Cherbourg - St Pierre Eglise - Barfleur - St Vaast-la-Hougue  (2 or 3 return journeys a day, also 1 market day return journey Friday morning from Barfleur and St Vaast to Valognes)

Ligne 3    Cherbourg - Valognes - Bricquebec - Barneville - Carteret         (1 or 2 return journeys a day)

Ligne 5         Cherbourg - Valognes - Ste-Mère Eglise - Carentan - Saint Lô          (3 return journeys a day)

Ligne 7      Cherbourg -  Les Pieux - Flamanville - Siouville (2 return journeys a day plus mid-day market extras on Thursday and Friday).


Les lignes SCETA de remplacement de rail deviennent des lignes STN propres en 2001 et sont numérotées, 34 pour Cherbourg - Coutances, 32 Carentan - Carteret (juillet et aout seulement), 35 Folligny - Pontorson. Mais en 2005 grand surprise. Le département arretait les subventions et les lignes 32 et 35 sont supprimées. Seule la ligne 34 Cherbourg Coutances roulait mais en service hebdomadaire pour les lycees. Aller le lundi retour le vendredi.

En autre la STN assurait le service de remplacement de trains sur les lignes suivantes:

    Lison - Dol
    Coutances - Granville  
    Folligny - Granville                    
    Carentan - Carteret   (ligne 32, juillet et août)
    Coutances - Cherbourg  (ligne 34)     
    Folligny - Pontorson  (ligne 35)

Pendant quelques années, les trois premières ci-dessus, qui sont des lignes TER (Transport Express Régional), ont été assurées par Keolis; par suite c'était Veolia.

STN - comme filiale Verney a rejoint le groupe Connex en 2002, devenant Veolia en 2006 et puis en 2007 STN fusionne un peu malheureusement avec VTNI Veolia Transports Normandie Interurbains. Il est vite devenu évident que la nouvelle direction devait être axée différemment sur celle de Verney, Il est vite devenu évident que la nouvelle direction Connex devait être axée différemment sur celle de Verney, par exemple les activités touristiques ont diminué. Fondeé en 1993, la filiale Hurel Voyages de Torigni-sur-Vire a été fusionnée dans la STN. 2002 a également vu la perte du contrat des bus ouvriers pour la centrale électrique EDF de Flamanville en faveur de Transports Bellier. Ce contrat était en place depuis 1980 pour la STN.

La ligne 15 de Pontorson au Mont St Michel a été perdue dans l'appel des offres de 2003 aux Courriers Bretons. Les horaires de l'hiver 2004 mettaient de plus en plus l'accent sur les horaires scolaires pour les lignes diverses. Il n'y avait plus aucun service le samedi au départ de Cherbourg (les départs de dimanche ont cessé il y a plusieurs années) et même la service de remplacement des trains Cherbourg - Coutances n'était désormais assurée que les jours scolaires. Tous les voyages non scolaires sur la ligne 5 (Cherbourg - Saint-Lô) a nécessité un changement de car à Ste-Mère Eglise, avec les véhicules et les conducteurs basée sur Cherbourg ou Saint Lô retournant vers leurs bases respectives.

De 2003 à 2005, la STN explotait des bateaux entre Carteret / Diélette / Granville et Jersey (via une filiale SNN - Société Normande de Navigation). En 2005, après de nombreux problèmes et échecs opérationnels, cette société devient Manche Iles Express, gérée par une autre compagnie maritime et la SNN cesse ses activités. Il y avait deux catamarans des fjords norvégiens - Victor Hugo et Marin Marie - et ils sont toujours en service aujourd'hui. Les relations entre la STN et le département de la Manche se sont inquiètes en raison de ces problèmes.

La flotte de la STN en 2005 était de 137 cars fonctionnant sur une combinaison de services interurbains réguliers, services scolaires, location privée, visites et excursions. De nombreux bus des lignes régulières stationnaient la nuit au bout d'un parcours avec, en général, un ou deux garés sur la place principale du village ou dans un parking de centre commercial. Ainsi au nord il y avait des bus garés à Quettehou, Barfleur et St Pierre Eglise pour la ligne 1; à Bricquebec, Sottevast et Les Moitiers d'Allonne pour les lignes 3 et 4; à Carentan pour la ligne 5 et à Les Pieux et Siouville pour la ligne 7. Sinon les bus étaient aux dépôts de Tourlaville, Saint Lô, Coutances et Granville. Au sud, il y avait des bus garés à la gare d'Avranches et à St Hilaire d'Harcouet. La seule exception était un trajet à vide sur la ligne 14 d'Avranches jusqu'à St James, mais ce n'était pas très loin. Pour les circuits scolaires, les conducteurs les garaient souvent chez eux à la campagne.

2004 a été une année triste pour la STN avec la perte des circuitts scolaires dans six communes et la perte du réseau urbain TUSA à Saint Lô (dix-sept salariés touchés).

Le siège social STN, qui s'est déplacé de son emplacement d'origine de longue date à Granville á Cherbourg-Tourlaville en 1987, déplacé de nouveau à Saint-Lô en Janvier 2006. L'horaire d'été 2006 avait quatre lignes en exploitation de Cherbourg (pas de services le dimanche, et seulement Ligne 1 avec un nombre limité de départs le samedi):

Ligne 1 Cherbourg - St Pierre Eglise - Barfleur - St Vaast-la-Hougue (2 ou 3 allers-retours par jour, et aussi un aller-retour le jour du marché vendredi matin à partir de Barfleur et St Vaast à Valognes)

Ligne 3 Cherbourg - Valognes - Bricquebec - Barneville - Carteret       (1 ou 2 allers-retours par jour)

Ligne 5 Cherbourg - Valognes - Ste-Mère Eglise - Carentan - Saint-Lô      (3 allers-retours par jour)

Ligne 7 Cherbourg - Les Pieux - Flamanville - Siouville (2 allers-retours par jour, plus extras du marché mi-journée le jeudi et le vendredi).




STN to VTNI and then Manéo



STN à VTNI puis Manéo

From 1st January 2007 Veolia Transport rebranded its several interurban operations in Normandie under one name VTNI- Veolia Transport Normandie Interurbain.  As well as STN this includes CNA (Compagnie Normande d’Autobus, Rouen), ADC (Autocars du Calvados), STAO (Société des Transports Automobiles de l’Ouest) and CFTI (Compagnie Française de Transports Interurbains).  The combined fleets total some 1,000 vehicles and there are 1,171 employees. Group turnover is 69 million euros.

At this time in 2007 the STN depot at Rue Jean Bouin in Tourlaville was closed after the company lost the important contract for workers buses (30 routes) to and from the COGEMA - AREVA nuclear site near Jobourg to Keolis. STN had held the contract for 24 years since 1983 and it formed a substantial part of the work of the company (40% of overall activities involving 74 staff). This was a major blow to the companys finances and caused the closure of the depot at Tourlaville and the direction being moved to Saint-Lô.

The department of Manche published in the summer of 2006 plans to develop a comprehensive network of bus services in their area, including a proposal for seven main interurban services linking the principal towns, supported by a network of twenty seven feeder services connecting with the main routes. The new manéo network was introduced on 1st September 2007, although a proposed main service 4 from Granville to Villedieu was never introduced, perhaps because it parallels a rail line.  The main contractor who gained the tender for the operation of the network was VTNI.  Some routes were sub-contracted, eg ligne 100 was operated by Collas Voyages of Bricquebosc and Tourlaville; with further routes provided by Lechanteur Voyages of Périers and Coutances (Lechanteur coincidentally sold their coach business to Collas in February 2011). Other sub-contractors include Cars Farouault of Ducey and Hommet Transport of St Clair sur Elle.

A sad record of cloures :

2007: Tourlaville STN depot closed (rue Jean Bouin)
2008: closure of the STN Cherbourg bus station
2009: closure of the STN Coutances bus station
2012: closure of the STN Avranches bus station and the Granville urban route is stopped  (it will resume in December 2014, operated under municipal management as NEVA)


A partir du 1er janvier 2007, Veolia Transport rebaptise ses activités interurbaines en Normandie sous un seul nom VTNI - Veolia Transport Normandie Interurbain. Ainsi que STN il inclut CNA (Compagnie Normande d'Autobus, Rouen), ADC (Autocars du Calvados), STAO (Société des Transports Automobiles de l'Ouest) et CFTI (Compagnie Française des Transports Interurbains de). Les flottes combinées totalisent quelque 1000 véhicules et il ya 1171 employés. Chiffre d'affaires du Groupe est de 69 millions d'euros. 

A cette époque en 2007, le dépôt de la STN à la rue Jean Bouin à Tourlaville a été fermé après que la compagnie a perdu un contrat important (30 lignes) pour les bus ouvriers pour la site nucléaire COGEMA - AREVA  près de Jobourg à Keolis. STN avait tenu le contrat pendant 24 ans depuis 1983 et il a constitué une partie substantielle du travail de l'entreprise (40 % du chiffre d'affaires impliquant 74 salariés). Cela a été un coup dur pour les finances de l'entreprise et a provoqué la fermeture du dépôt de Tourlaville et le déplacement de la direction vers Saint-Lô.


Le département de la Manche en été 2006 prévoit de développer un réseau complet d'autocars dans leur région, y compris une proposition de sept lignes interurbains reliant les villes principales, soutenu par un réseau de 27 lignes locales en correspondance avec les lignes principales. Le nouveau réseau manéo a été introduit le 1er septembre 2007, mais une ligne principale 4 proposée de Granville à Villedieu n'a jamais été mis en place, peut-être parce qu'elle coïncide avec une ligne de rail. L'exploitant principal qui a gagné l'appel d'offres pour le réseau était VTNI. Certaines services etaient en sous-traitance, par exemple ligne 100 exploitée par Voyages Collas de Bricquebosc et Tourlaville; avec des parcours supplémentaires fournies par Voyages Lechanteur de Périers et Coutances (Lechanteur en coïncidence a vendu leur entreprise à Collas en février 2011). D'autres sous-traitants comprennent les Cars Farouault de Ducey et Hommet Transport de St Clair sur Elle.

Une triste histoire de fermetures :
2007 : fermeture dépôt STN de rue Jean Bouin, Tourlaville
2008 : fermeture STN autogare de Cherbourg
2009 : fermeture STN autogare de Coutances
2012 : fermeture STN gare routière d'Avranches et arrêt du service urbain de Granville (qui reprendra en Décembre 2014 exploité en régie municipale sous la marque commerciale NEVA)


The principal manéo routes in and around the Cherbourg and north Cotentin area in 2007 were as follows:

Les principales lignes manéo de la région de Cherbourg et nord Cotentin en 2007 étaient les suivantes:

   Ligne 1        Cherbourg - Valognes - Carentan - Saint Lô
        (replacing former STN ligne 5)

   Ligne 100    Cherbourg - Beaumont Hague - Auderville
       (replacing former STN ligne 2, discontinued around 1995)

   Ligne 101     Barfleur - St Vaast-la-Hougue - Valognes
       (replacing the 'far end' of  STN 1 not covered by the new 102)

   Ligne 102     Cherbourg - St Pierre Eglise - Barfleur -
            St Vaast-la-Hougue   (replacing former STN ligne 1)
         
    
A full list of Manéo routes 2007 is here  - 
                  liste complète des lignes Manéo ici
  Ligne 103    Cherbourg -  Les Pieux - Carteret
       (replacing former STN ligne 7, ex-Transports Schmidt)

  Ligne 104    Cherbourg - Bricquebec - Valognes
       (partly replacing former STN ligne 3.  Bricquebec - Carteret)

  Ligne 105    Valognes - Bricquebec - Carteret
       (partly replacing former STN ligne 3)
maneo logo
As a footnote the gare routière at Cherbourg was permanently closed on 14th April 2008 - a little sad as it had served public transport in the area in all its forms for many years, firstly for the local 'Tue-Vaques' trains and then buses.  But the manéo buses still pick up at the stop outside the old building using a buses only contra-flow traffic lane. 

The story of manéo continues here.

In 2020 public transport became a regional not departmental responsibility. The regional network is called NOMAD.

Une note sur la gare routière de Cherbourg qui a été fermée définitivement le 14 avril 2008 - un peu triste car elle avait servi de transports publics dans la région sous toutes ses formes depuis de nombreuses années, d'abord pour les trains locaux "Tue-Vaques" puis bus. Mais les bus Maneo toujours faire arrêt devant le vieux bâtiment en utilisant les voies de circulation contre-courant.

L'histoire de manéo est poursuivi ici.

En 2020, les transports sont devenu une responsabilité régionale et non départementale. Le réseau régional s'appelle NOMAD.



STN ticket September 2006 for
single journey Cherbourg to Carentan, 8.80 euros for approx 50 kilometres

STN billet Septembre 2006 de Cherbourg aller simple vers Carentan, €8,80 pour environ 50 km

Hand written STN ticket for single journey Siouville to
Cherbourg, also September 2006 (former Schmidt route).
6.61 euros for approx 30 kilometres

Billet STN écrit à la main aller simple de Siouville vers Cherbourg, également Septembre 2006 (ancienne ligne Schmidt).
€6,61 pour environ 30 km

Manéo ticket October 2008 for single journey Cherbourg to Auderville - Ligne 100 - operation sub-contracted to Collas.  2.00 euro one zone fare for approx 28 kilometres

Manéo billet Octobre 2008 de Cherbourg aller simple vers Auderville - Ligne 100 - opération de sous-traitance à Collas.  2,00 tarif de la zone d'environ 28 km
stn ticket 2006 siouville ticket maneo ticket 2008
old style "Edmondson" ticket - vieux billet
Granville to Donville or St Pair





Cherbourg Gare Routiere




The STN bus station at Cherbourg in 2005, little changed from when built in 1911 as the terminal station for the local
CFM <Tue-Vaques> rail line to Barfleur. Sadly the building closed in April 2008, although buses still depart outside.

La gare routière STN de Cherbourg en 2005, peu changé entre le moment où construite en 1911 comme la station
terminus  de la ligne locale <Tue-Vaques>  ferroviaire CFM à Barfleur.  Malheureusement le bâtiment était ferm
é
en avril 2008, bien que les autocars encore commencent leurs voyages à l'extérieur.




Cours Jonville Granville






The former offices of Tourisme Verney and STN at Cours Jonville, Granville, now (2012) a "Subway" sandwich-bar.



L'ancien agence de voyages Tourisme Verney et bureau STN à Cours Jonville, Granville, maintenant (2012) devenu une  sandwicherie "Subway".  
  
         (photo de Richard Jacquemin)



Bricquebec Collas and Noel Voyages

Two of the other companies in Manche, pictured at Bricquebec. On the left Collas of Bricquebosc and Tourlaville, who were significant operators in the Manéo network of services. On the right a Setra of Voyages Noel of Surtainville who merged with Portbail Voyages to form Normandie Voyages. The latter is now a Veolia subsidiary and also operated on the Manéo network.  

Deux autres exploitants de la Manche dans une vue prise à Bricquebec. A gauche Collas de Bricquebosc et Tourlaville, lequel prend grande partie de r
éseau Manéo. A droite un Setra de Voyages Noel de Surtainville qui a fusionné avec Voyages Portbail sous le nom de Voyages Normandie. Celui-ci est maintenant une filiale de Veolia et aussi fonctionnait sur le réseauManéo.                                                   

                     (photo de Richard Jacquemin)
The nameboard from the former bus station in Cherbourg
L'insigne de l'ancienne gare routière à Cherbourg
Bus station sign Cherbourg


Follow this link for the full 2004 list of bus services in the département of Manche, including those operated by STN.

Or follow this link for the Buses of Cotentin 1934  -  a reprise of country and interurban services from some 80 years ago.

The story of manéo and the buses of Manche continues here.

                     Suivez ce lien pour la liste complète 2004 des lignes de cars dans le département de la Manche, y compris ceux exploités par des STN.

                      Ou suivez ce lien pour Les Bus du Cotentin 1934 - une reprise de services rurales et interurbains à partir de 80 ans auparavant.

                      L'histoire de manéo et les cars de la Manche est poursuivi ici.


I would be pleased to learn more about this operator if any French readers of this page have further information.

With thanks to Richard Jacquemin, Sylvain Gardie and Bruno Cassin for much supplementary information.

Si les lecteurs français de cette page pouvaient m’apporter des informations complémentaires à propos de cet autocariste,
je leur en serais reconnaissant.

Avec mes remerciements à Richard Jacquemin, Sylvain Gardie et Bruno Cassin pour ses informations supplémentaires.


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